Reprise du journal après un an de pause

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Après un an de pause Le Postillon de France refait surface.

Un journal libre

L’idée reste toujours de voir si je peux produire un quotidien en ligne sans utiliser les outils oligarchiques (Alphabet, Meta) et donc échapper à leur censure. Nous voyons bien trop souvent, dans nos milieux, les gens se plaindre des outils oligarchiques tout en les utilisant. Se mettant dans la gueule du loup, ils s’en vont ensuite chouiner que leurs contenus ont été supprimés ou plus subtilement invisibilisés, comme le vœu le totalitarisme malin moderne et sa culture du cloisonnement de l’effacement. C’est absurde. En ces temps de contrôle des media, j’utilise donc des outils (encore) libres comme :

  • Telegram
  • X/Twitter
  • Odysee (plus marginalement : Rumble ou Bitchute)

L’idée est aussi de donner la part belle à l’écrit qui ne s’efface pas et ne dépend d’aucun autre service. En effet, les contenus sur les sites tiers pouvant être effacés par leur créateur ou par le site, miser sur eux c’est risqué d’avoir des articles vidés de leur substance et n’avoir donc beaucoup trop d’épaves d’article devenus illisibles. Or, lutter contre l’abrutissement ambiant, c’est aussi pouvoir être capable de retrouver l’information dans le temps, de voir comment elle était traitée dans le passé et de garder une profondeur d’analyse.

Une organisation

La valeur ajoutée d’un site tel que je veux le proposer, outre sa durabilité, est surtout d’organiser le contenu. Non seulement de faire le travail de discrimination de l’information (comme le dit notre devise, éliminer les « dingueries » anxiogènes et chronophages) mais aussi de prendre des bribes éparses qui arrivent en direct, pour proposer des articles construits, complets (il ne devrait pas y avoir plus d’un article par jour sur le même sujet, quitte à le reprendre si nécessaire). Cela doit permettre à l’utilisateur de gagner beaucoup de temps, en n’ayant pas aller sur Telegram ou X/Twitter qui sont de vrais dépotoirs pêle-mêle, qui empilent les informations dans un amas informe.

Grâces aux catégories et mots-clefs, le site doit aussi permettre de retrouver des vues synoptiques et chronologiques pérennes des sujets, ce qui n’est pas possible avec les outils cités.

Une grille d’analyse adéquate

Enfin, le site, par le choix du vocabulaire (il ne faut surtout pas utiliser celui qu’on veut nous imposer, qui véhicule une vision idéologique du monde) et la façon de découper les catégories doit offrir une vraie vision du monde qui correspond à la grille d’analyse qui nous paraît la plus adéquate, nous autres vrais réveillés du somnambulisme dans lequel les media et politiciens marionnettes de l’oligarchie ont plongé les États-Unis et leurs colonies. Pour ce, je vous réfère à la première partie de mon éditorial explicatif de septembre 2022 – « un journal est une œuvre philosophique » – qui reste d’actualité.

L’aspect graphique

Caduque cependant, tout ce que j’écrivais sur l’aspect graphique du site. En effet, prenant parti des évolutions de WordPress 6, j’ai fait évoluer le site en utilisant le nouveau moteur graphique du propulseur de site, basé sur les blocs.

Les menus principaux permettent de retrouver les articles par thèmes et lieux géographiques, chaque article se retrouvant normalement dans les deux à la fois.

C’est plus flexible mais cela m’oblige à passer par une période de tests et de tâtonnements qui ressemble à une régression graphique, que j’espère momentanée. J’ai notamment un problème, actuellement, avec les pages automatiques listant les articles par étiquettes, qui ne filtre rien et ne fonctionnent donc pas.

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