La loi sur les ingérences étrangères secoue la Géorgie

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Inspirée d’une loi russe, la loi contre les ingérences étrangères demande à toutes les association percevant plus de 200% de leurs revenus de puissances étrangères de se déclarer comme agent d’influence de l’étranger.

Or la présidente, Salome Zurabishvili, née Française et agent de la caste oligarchique dépêchée en Géorgie, s’oppose à la loi votée par le parlement, voulant y mettre son véto. S’en sont suivies de larges manifestations à Tbissili, la capitale.

Cette loi gêne la caste oligarchique car elle obligerait nombre d’associations de se déclarer comme agents étasuniens, ce qui n’est pas considéré comme une ingérence étrangère puisque le pays sous domination est considéré comme membre satellite de l’Empire étasunien. On se reportera par exemple, aux polémiques autour de l’argent reçu de la Russie par les politiques politiques, en France, qui n’ont jamais concernés les ingérences étasunienne tacitement considérée comme normales par les collaborateurs mis en place pour effectuer cette tâche de domination étrangères.

Sur X, Thijs Reuten, député européen néerlandais socialiste, a appelé à lancer des sanctions contre tous les députés géorgiens qui voteraient démocratiquement dans leur propre parlement en faveur d’une telle loi. Preuve s’il en est, avec la tentative d’assassinat sur Robert Fico dans les mêmes jours, que l’Empire étasunien et ses sbires européens font peser une menace stalinienne sur les Etats récaciltrants. Ce qui n’est rien d’autre que de « l’impérialisme pur », comme le remarquait la chaîne Telegram La Nouvelle Donne.

Cela tend à prouver à quel point il est indispensable que la Géorgie se protège des ingérences étrangères étasuno-européennes.

Aller plus loin

« Géorgie, une nation sous tension », présenté par Xavier Moreau :


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